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JONE
Le magazine The Economist a déclaré que les bénéfices annuels normaux du bois, ce qui signifie des confitures supervisées qui sont enfin rassemblées, ont dépassé ceux de la conduite des listes de titres, de la propriété, du pétrole et de l’or dans le monde depuis une dizaine d’années. Partout dans le monde, le bois a attiré plus de 20 milliards de dollars de capital-risque de la part d’investisseurs institutionnels. Les propriétaires de ranch sont d’accord avec The Economist. Il y a un nombre sans cesse croissant d’individus sur notre planète qui ont besoin d’articles en bois pour se loger, meubles, papier et le ciel est la limite à partir de là, alors qu’il y a de moins en moins d’arrière-bois et de boisés accessibles. Le résultat est une vérité monétaire fondamentale: la demande continuera à dépasser les stocks, entraînant des coûts excessifs et par conséquent des rendements importants pour les bailleurs de fonds des arbres tropicaux.
